C'est encore avec des larmes dans les yeux que j'ai quitté une nouvelle fois ma violente et douce Bogotá. Comme toujours, il fut difficile de quitter l'énergie colombienne et cette pétillante odeur d'alégresse. Je ne nie pas qu'il fut doux et agréable d'être accueillie par un "Bonjour Mademoiselle !" de la patrouille de police d'immigration de l'aéroport de Paris (surtout après avoir passé une poignée d'heures dans un avion et un aéroport anglophones) et de retrouver mon petit confort à la française.
Entre, d'une part ma famille, le confort de vie et la cuisine française, et, d'autre part la vision de la vie et l'énergie colombienne, il est maintenant sûr que je ne pourrais jamais choisir. Je pense donc que cet aller-retour entre Amérique du Sud et Europe ne sera pas le dernier !
Entre, d'une part ma famille, le confort de vie et la cuisine française, et, d'autre part la vision de la vie et l'énergie colombienne, il est maintenant sûr que je ne pourrais jamais choisir. Je pense donc que cet aller-retour entre Amérique du Sud et Europe ne sera pas le dernier !
Dernière soirée avec les copains de Bogotá...
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